dimanche 6 octobre 2013

Natureman

Je me fait le narrateur de cet excellent week-end passé au lac de Sainte-Croix (aux salles sur verdon), pour le NATUREMAN (2km natation – 90km velo – 20km).

Départ en train à Paris-gare-de-Lyon, pour un Paris-Aix le samedi matin: première bonne nouvelle, il y a dans le TGV des endroits prévu pour le vélo. Mais mauvaise nouvelle, Christophe ne fera pas la course car il s’est blessé à Jablines; déçu pour lui mais néanmoins heureux qu’il soit là avec nous : il sera notre ‘’chaperon’’.

Deuxième bonne nouvelle, notre organisateur Christophe, nous avait réservé une grande voiture, pour les vélos, et pour les éventuels participants supplémentaires (‘’quel organisateur’’ !!). On sera finalement 3 dans la voiture (Christophe Le Nagard, Marce Bruere & moi-même). Eric & Francois sont partis de leur côté.


Marc - Eric - François - Joel
Un rapide passage au gite à Esparron-en-verdon (à 1h des Salles-sur-Verdon. Eric & Francois sont installé sur le lieu du tri), et nous voilà arrivé en milieu d’après-midi sur la place des salles-sur-verdon pour le retrait des dossards (avec en cadeau un sac de transition + un haut de cycliste d’été + des produits  L’Occitane) ; on est à la veille du départ.
Retour à Esparron-sur-verdon pour préparer les vélos & manger un bout avant une nuit de repos.

Apres un réveil à 6h & un départ du gite a 7h, on est au parc a vélo à 8h30 (1h avant le départ).

Les départs se feront en deux vagues (500 + 500), 9h30 & 9h40. A pied de deux montgolfières de L’Occitane (sponsor du Triathlon, avec Renault). Eric & Francois sont dans la 1ere vagues, Marc & moi la deuxième vague (celle des non-licenciés).

La partie nage est extra : une eau clair, à 20°. On se croirait revenu à nos chères vacances d’été.

La 1ere transition a été un peu hésitante : chaussures à la main (ou pas !), k-way dans la poche de la tri (ou pas !) : finalement se sera sans le k-way, le temps a l’air de se tenir.
Le partie vélo était un MUST : le rêve de n’importe lequel d’entre nous cherche à se dépenser dans un cadre extraordinaire : ça monte, ça descend. Un passage (au 40eme km) de 2km à 16% (dur mais finalement passe bien), un deuxième passage (au 75km) de 4km, avec moins de pente mais long (tellement long !!! infinissable !!!). De plus, j’ai trouvé que les ravitaillements se trouvaient où il faut et quand il faut, avec des bénévoles à la gentillesse qui aura dépassé toutes mes espérances !

La 1ere transition est plus simple, avec moins de ‘’mécanique’’ à gérer. Le début, sur bitume (oh ! pas long, 1/2km) est un régal ; je suis bien et sur un bon rythme. Mais je vais vite déchanter avec la parie Trail et ses chemins de pierre. J’avoue avoir un peu galéré.

Finalement, après 5h45 d’effort, j’arrive au bout ! Mon premier réflexe à été d’aller soigner mes muscles avec un verre de bière (que je pense régénérateur car je n’ai pas de séquelles ce matin ; à part une micro torsion sur une de ces satanées pierres du Trail).
Il n’a pas plu de toute la course (sauf Marc qui s’est pris 10min de grêle, histoire de corser une peu la course ; et la 10min après l’arrivée, l’averse, la vraie, celle qui dure, et durera jusqu’à peu avant notre arrivée à Aix TGV.
Et moi qui n’avait pas dormi de tout le week-end, je me suis éteint durant le trajet retour

Ce qui me restera dans ce week-end :
·         Le cadre aux alentours des Salles-sur-verdon,,
·         Le professionnalisme de l’organisation de Natureman,
·         Le gentillesse et le soutien des bénévoles de l’épreuve ; ils ont été adorables,
·         L’accueil et le soutien dans gens sur place, nous encourageant tout au long de l’épreuve,
·         L’arrivée avec une ambiance extraordinaire,
·         La super convivialité de mes partenaires d’un week-end,
·         La top organisation de Christophe pour notre microgroupe.
·         Y’a de l’argent à se faire dans la création de gels au gout salé ; comme : jambon, fromage, pommes-de-terre, saucisson, bière, j’en passe et des meilleurs J

J’ai ADORE.

Jetez un œil à la photo ‘’Lac de sainte-croix’’, elle donne une bonne vision du cadre.

Joel Virion

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